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    [Tuto] 10 étapes simples pour démonter les disques de frein de votre Ferrari


    Mike051

    Sur les Ferraris récentes, deux types de freins sont disponibles : les freins en disques aciers, jusqu'en 2008, et ceux en disques de technologie CCM (Carbone-Céramique) dont les Ferrari sont équipées de série depuis cette date, et en option auparavant depuis la Ferrari F430 . Si ces deux technologies nécessitent des plaquettes de freins différentes et propres à chaque technologie, le système reste le même : un circuit hydraulique commande des pistons situés au niveau des étriers, qui vont appliquer une force sur les plaquettes pour venir frotter sur les disques. Si les technologies sont différentes, le système reste le même.

     

    Si vous souhaitez changer vos disques (en 10 étapes), ou simplement changer vos plaquettes (en 5 étapes seulement), cet article peut vous aider à réaliser ces opérations par vous-mêmes. Ou juste vous aider à mieux comprendre comment fonctionne cet élément primordial sur votre Ferrari.

     

    demontage-freins-CCM-Ferrari.jpg

     

    Nota Bene : il s’agit d’un article informatif, relatif à un organe de sécurité de votre Ferrari. Ferrarista.club, ainsi que son auteur, ne sauront être tenus responsables de toute conséquence relative à l’application de cet article.

     

    Contexte : Pourquoi je me suis retrouvé à démonter les disques de ma Ferrari 612 Scaglietti

     

    Dans le cadre de ma recherche de disques CCM alternatifs aux disques OEM Brembo/Ferrari (car pas assez costauds à mon sens, dépassés technologiquement et chers), je me suis mis en recherche d’un fournisseur capable de me fournir des disques de génération plus actuelle (génération 3, par rapport aux disques de génération 1 de la Ferrari 612 Scaglietti), et qui sont plus performants et surtout plus fiables.

     

    L’un d’entre eux disposaient des dimensions des disques de la Ferrari 612 dans son catalogue, mais ne disposait pas des bols, qui est la partie centrale du disque. Il me proposa de lui envoyer un disque avant et un disque arrière, de façon à ce qu’il puisse reproduire le bol et l’adapter aux mensurations de ses disques. Pouvoir réaliser cette opération dans mon garage personnel m’a permis de ne pas laisser l’auto pour une durée indéterminée chez mon garagiste. En effet, certains fournisseurs parlaient d’un retour des disques à mon domicile sous 3 à 4 semaines.

     

    Etape 0 : Préparez le matériel


    •    Un tournevis à tête pleine et marteau (pour les étapes 2 et 5), 
    •    Une clé plate de 13 (pour l'étape 3), 
    •    Deux petits tournevis tête plate (pour l'étape 4), 
    •    Une clé à tête hexagonale (diam 13 ? pour l'étape 8), 
    •    Deux clés de diamètre 12 et 13 (clé à cliquets sur rallonge conseillée), 
    •    Un tournevis à tête plate (pour l'étape 10 si disque arrière), 
    •    Un marqueur, du scotch à peinture, un peu de fil électrique, une cale martyr en bois,  

     

    Outils-demontage-freins-Ferrari.jpg

     

    Etape 1 : Retirez la roue de votre Ferrari (écrous de diamètre 22 sur la Ferrari 612 Scaglietti)

     

    Etape 2 : Enlever les tiges traversant l'étrier

     

    Enlever les deux tiges traversant l’étrier et maintenant la plaque en appui sur les plaquettes. Appuyer si possible sur cette plaque pour faciliter le glissement de ces tiges. Pour cela, taper avec le tournevis à tête pleine depuis l’extérieur sur les têtes de ces tiges, qui se dégageront par l’intérieur.

     

    Retrait-tiges-etriers-freins-Ferrari.jpg


    On voit sur la photo ci-dessous que la tige basse a été retirée : la plaque n’étant plus sous pression, elle s’est relevée. Il reste la tige haute à retirer.

     

    Tige-etrier-Ferrari-demonter-freins.jpg


    Une fois les deux tiges retirées, il est possible de retirer la plaque qui appuie sur les plaquettes.

    Voici la vue une fois cette dernière retirée :

     

    Retrait-plaque-demontage-freins-Ferrari.jpg
     

    Etape 3 : Retirez l'axe anti-rapprochement

     

    A l’aide d’une clé de 13, retirer l’axe anti-rapprochement de l’étrier que l’on aperçoit sur l’image précédente.

    Sur la Ferrari 612 Scaglietti, cela est valable uniquement que pour les freins avant.

     

    anti-rapprochement-freins-Ferrari-demontage.jpg

     

    Etape 4 : Enlever le témoin d’usure des plaquettes

     

    Pour moi, il s'agit de l’une des étapes les plus compliquées.

    Il faut comprendre que derrière le témoin il y a deux languettes sur la base du câble, sur lesquelles il faut appuyer simultanément (d’où les 2 micro-tournevis) pour nous permettre de glisser le capteur vers l'extérieur.

    Le seul souci est que nous n’avons quasiment que par le câble que l’on peut tirer… Y aller doucement si on voit que le témoin reste en place : c’est que l’appui sur les languettes ne fonctionne pas. 

     

    temoin-plaquettes-Ferrari-freins-demontage.jpg

     

    Etape 5 : Enlevez les plaquettes

     

    Si elles sont maintenues, frapper délicatement vers l’étrier avec une pointe sur la partie dure des plaquettes (i.e. pas sur la partie garniture !). La plaquette devrait sortir progressivement.

    Eventuellement, alterner un coup en haut et un coup en bas.

     

    plaquettes-freins-Ferrari-demontage.jpg

     

    On peut désormais apercevoir les six pistons de l’étrier avant qui appuient sur les plaquettes quand elles sont en place. (oui mon étrier est sale , mais ma Ferrari roule ! 😊 )

     

    freins-Ferrari-demontage-pistons-CCM.jpg


    Et voilà ! Si votre action ne concerne que les plaquettes, cela s’arrête ici. 
    Si vous souhaitez en revanche démonter vos disques, voici la suite des opérations.

    Rien de bien méchant !

     

    Etape 6 : Marquer le couple de serrage

     

    Avant quoique ce soit, marquer avec un trait allant de la tête des vis sur la pièce, de façon à représenter le couple de serrage.

    Il vous sera utile au remontage, ne disposant pas forcément de clé dynamométrique, pour respecter les couples de serrage.

    Cette action doit être réalisée pour les vis restantes, à savoir celles fixant l’étrier ainsi que celles fixant le bol du disque.

     

    Etape 7 : Maintenir la pression hydraulique

     

    Si votre opération s’arrête à l’intervention sur les disques, vous avez tout intérêt à conserver sous pression votre circuit hydraulique.

    Pour ce faire, vous ne devez pas toucher à cette dernière, et donc trouver un moyen de maintenir l’étrier en place durant l’opération.

     

    Si la conduite hydraulique du liquide de frein est en durite souple, ca va : vous pourrez accrocher votre étrier à un élément, via, par exemple, un fil électrique 2,5 mm2.

    Penser éventuellement à garnir l’étrier de scotch à peinture si vous pensez que vous risquez d’abimer la peinture de l’étrier.

    Exemple :

     

    pression-hydraulique-ferrari-frein-demontage.jpg


    Si en revanche, comme à l'avant sur la Ferrari 612 Scaglietti, il s’agit d’une conduite rigide, il vous faut dans ce cas prévoir sous l’étrier un moyen de le supporter et de le garder à peu près en place, comme ici :

     

    pression-hydraulique-conduite-rigide-ferrari-frein-demontage.jpg

     

    Etape 8 : Dévisser les deux axes maintenant l’étrier

     

    Les axes à dévisser sont situés à l’arrière de l’étrier. Ne pas oublier de marquer le couple de serrage.

    Désolé, je ne me souviens plus de la taille de la tête hexagonale …

     

    axes-etriers-ferrari-frein-demontage.jpg

     

    Etape 9 : Les deux derniers écrous

     

    Vous y êtes presque !

    Il ne reste que les deux écrous (diamètres 12 et 13) à dévisser pour pouvoir sortir le disque.

    Je vous conseille d’utiliser une clé à cliquets, avec un prolongateur, afin d’avoir les mains loin du disque et de porter des gants.

     

    ecrous-disques-ferrari-freins-demontage.jpg

     

    Etape 10 : Sortir le disque

     

    Pour sortir le disque, il peut être nécessaire de taper légèrement par l’arrière du disque, sur une cale martyr, pour le désolidariser du moyeu.

     

    Note 1 : Pour les disques arrière, et pour les autos disposant d’un frein à main intégré à l’arrière du bol, il peut être nécessaire, au préalable, de dévisser le frein à main pour libérer sa tension, même frein à main desserré.

    Pour cela, vous avez deux trous sur le bol (entourés en rouge sur la photo) vous permettant de passer un tournevis plat et d’appuyer sur un engrenage qui va soulager la tension des garnitures.

    Il faut pouvoir tourner le disque pour l’aligner avec cet engrenage, et donc que votre boite de vitesses ne soit pas en prise. 

     

    tension-frein-main-ferrari-demontage.jpg

     

    Note 2 :  Si vous prévoyez de remonter les mêmes plaquettes de frein, marquez-les avec un scotch à peinture de façon à les repositionner au même endroit.

    Avec l’usure, elles se sont façonnées pour la face du disque avec laquelle elles étaient en contact.

     

    Voilà ! Une opération pas très compliquée finalement. Pour moi, le plus dur aura été de pouvoir arriver à placer l’auto sur deux  chandelles sans l’abimer. 


    Dans un prochain article, je vous expliquerai la démarche entreprise pour trouver un fournisseur alternatif de freins CCM : le parcours qu’il a fallu emprunter à travers plusieurs pays frontaliers, ainsi que les étapes pour se les procurer ... sachant que je viens de récupérer une Ferrari 612 Scaglietti nouvellement équipée. Il va y avoir du rodage à faire aux beaux jours ! 😊

     

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    Le 07/03/2022 à 06:31, Mike051 a dit :

    Merci @Seb38. J’ai eu besoin de les démonter 2 fois en fait, donc la 2eme fois m’a permis de vérifier et compléter ce petit mode opératoire. 😅

    Le plus difficile à été au final la mise sur chandelles de l’auto et le fait d’arriver à faire coulisser le témoin d’usure pour le sortir.

    J’imagine ton stress pour caler la voiture .. en tout cas chapeau,et hâte d’avoir la suite 🙂 

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    Roudoudou le retour

    Posté(e)

    Le 07/03/2022 à 06:31, Mike051 a dit :

    Merci @Seb38. J’ai eu besoin de les démonter 2 fois en fait, donc la 2eme fois m’a permis de vérifier et compléter ce petit mode opératoire. 😅

    Le plus difficile à été au final la mise sur chandelles de l’auto et le fait d’arriver à faire coulisser le témoin d’usure pour le sortir.

    Concernant le témoin d’usure, pas possible de sortir complètement la plaquette de l’étrier avant de sortir le témoin  ?

    Le 07/03/2022 à 17:33, dragon1964 a dit :

    Bon, même si je ne me risquerais pas dans une telle opération, je salue ce mode d'emploi qui me parait fort bien documenté; merci @Mike051.

    J'attends avec impatience le prochain article...😉

    Franchement, c’est à peu près pareil sur mon ex R8 et c’est vraiment facile et sans risque avec un minimum d’outillage. Bien plus facile que de changer les plaquettes de la petite Hyundai de ma femme 😅

     

    Et je suppose que comme sur une R8, l’économie réalisée (en dehors du plaisir de le faire soi même) te paieras facilement un excellent resto à deux….voire quatre !

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    Roudoudou le retour

    Posté(e)

    Au fait, tu ne parles pas de repousser les pistons et avec des disques cassants comme les céramiques….brrrrr

    Que ce soit inutile pour les enlever pourquoi pas mais pour remette les neuves plus épaisses, il faut forcément repousser les pistons non ?

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    dragon1964

    Posté(e)

    Il y a 1 heure, Roudoudou le retour a dit :

    Concernant le témoin d’usure, pas possible de sortir complètement la plaquette de l’étrier avant de sortir le témoin  ?

    Franchement, c’est à peu près pareil sur mon ex R8 et c’est vraiment facile et sans risque avec un minimum d’outillage. Bien plus facile que de changer les plaquettes de la petite Hyundai de ma femme 😅

     

    Et je suppose que comme sur une R8, l’économie réalisée (en dehors du plaisir de le faire soi même) te paieras facilement un excellent resto à deux….voire quatre !

     

    Je comprends tout à fait ton point de vue.

    Vu de mon balcon, d'une part je n'ai pas l'outillage ce qui "se soigne", mais surtout je ne prendrai pas le risque d'intervenir sur un organe de sécurité aussi sensible que le système de freinage. Je n'aurai pas confiance en ma voiture car je sais que je  n'ai ni les compétences ni aucune expérience pour faire une telle opération.

    Je fais de la piste de temps à autre et je me vois mal arriver en fin d'une longue ligne droite avec une vitesse très élevé et avoir le moindre doute; le plaisir dont tu parles ne serait plus là...

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    Il y a 4 heures, Roudoudou le retour a dit :

    Concernant le témoin d’usure, pas possible de sortir complètement la plaquette de l’étrier avant de sortir le témoin  ?

    Le cable du témoin n'était pas suffisamment grand pour me permettre de sortir la plaquette tout en ayant suffisamment de jeu sur le cable. Mais c'est effectivement une piste à creuser car peut etre (je ne me rappelle plus: cela date de plus de 6 mois) qu'il y avait juste un rislan à couper derrière l'étrier pour disposer de plus de jeu dans le cable du témoin. Ca me parait une bonne piste effectivement!

     

    Il y a 4 heures, Roudoudou le retour a dit :

    Au fait, tu ne parles pas de repousser les pistons et avec des disques cassants comme les céramiques….brrrrr

    Que ce soit inutile pour les enlever pourquoi pas mais pour remette les neuves plus épaisses, il faut forcément repousser les pistons non ?

     

    Je n'ai pas eu à remettre de nouvelles plaquettes dans mon cas précis puisque je remettais l'ensemble disque/plaquette actuel. Mais je n'ai pas noté de problème particulier: j'ai commencé à glisser la plaquette par une extrémité de façon à comprimer l'un des pistons, puis l'autre extremité pour appuyer sur l'autre ou les 2 autres pistons. En y allant de façon uniforme sur l'ensemble des pistons en meme temps, c'était effectivement plus compliqué de la faire rentrer. Une cale martyr en bois et de petits coups (légers hein!) exercés sur le support de la plaquette ont suffit à finir de les rentrer, y compris la 2ème plaquette. 

    Par contre, quand tu dis que les disques sont cassants... ils sont effectivement très fragiles aux impacts, mais ils ne m'ont pas semblé fragiles à la pression exercée dessus (et heureusement!). Et là, en remettant les plaquettes, c'est bien une pression que tu viens exercer dessus. 😉

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    Il y a 2 heures, dragon1964 a dit :

    Je n'aurai pas confiance en ma voiture car je sais que je  n'ai ni les compétences ni aucune expérience pour faire une telle opération.

    Je fais de la piste de temps à autre et je me vois mal arriver en fin d'une longue ligne droite avec une vitesse très élevé et avoir le moindre doute; le plaisir dont tu parles ne serait plus là...

     

    Je te comprends tout à fait. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai demandé à Franck de rajouter un "disclaimer" en haut de l'article, car c'est un organe de sécurité, et quelque soit la facilité relative à le faire cela reste un élément de sécurité. Il ne faut se lancer que si on se sent de le faire.

    "Si tu ne le sens pas, ne le fais pas. C'est japonais, ca doit venir de l'intérieur!" (Jean-Claude Duss). 😁

     

    Ceci dit, le seul risque à mon sens, si on ne touche pas au circuit hydraulique, concerne les couples de serrage. D'où la remarque sur les traits à faire pour marquer les couples (et bien sûr, il ne faut pas inverser les pièces, d'où le scotch pour noter la position de chaque pièce).

    Après une telle intervention il faut effectivement aller rouler tranquillement puis tester progressivement. Mais c'est vrai que si c'est pour aller sur circuit et qu'on est hésitant sur ses capacité à le faire, là il ne faut pas jouer. 100% d'accord avec toi. 

    Moi je ne m'occupe que de quelques bricoles, mais jamais je n'aurais les capacités à mettre mon nez dans le moteur comme certains le font ici. C'est d'ailleurs comme pour le circuit: il faut connaitre ses limites. 😉

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    Roudoudou le retour

    Posté(e)

    Le 11/03/2022 à 11:26, dragon1964 a dit :

     

    Je comprends tout à fait ton point de vue.

    Vu de mon balcon, d'une part je n'ai pas l'outillage ce qui "se soigne", mais surtout je ne prendrai pas le risque d'intervenir sur un organe de sécurité aussi sensible que le système de freinage. Je n'aurai pas confiance en ma voiture car je sais que je  n'ai ni les compétences ni aucune expérience pour faire une telle opération.

    Je fais de la piste de temps à autre et je me vois mal arriver en fin d'une longue ligne droite avec une vitesse très élevé et avoir le moindre doute; le plaisir dont tu parles ne serait plus là...

    Je comprends tout à fait le tiens 😉 avec un bémol toutefois.

    Un copain a une McLaren 720 et on lui a monté les plaquettes à l’envers ou un truc dans ce goût la, bref, une cata mais il s’en est aperçu très vite heureusement.

     

    Je fais un peu d’avion et comme c’est un ULM, je fais peux faire l’entretien moi même. Ça m’évite d’avoir un problème comme ces malheureux dont le mécano de l’atelier agrée avion a inversé les commandes d’ailerons, c’est un peu comme si tu inversé la direction de ta voiture, bref, tous morts.

     

    Et des histoires comme cela, heureusement prêtant moins à conséquence, il y en a un paquet !

     

    Pour reprendre ton exemple du freinage en bout de ligne droite a 250, si un jeune (ou pas) mécano à oublier de serrer une vis d’etrier…..

     

    Du coup, quand je fais l’entretien sur ma machine, c’est ma peau que je vais mettre dedans donc je suis absolument certain à 200% que j’ai la quantité d’huile, que le bouchon d’huile et freiné etc….je n’aurai pas la même certitude avec un atelier agréé.

     

    Apres, il faut aussi être sûr de ce que l’on fait bien entendu mais concernant les freins, pour en avoir fait sur un paquet de caisse, c’est un truc basique en mécanique en fait et à la portée de n’importe qui.

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